Par ce statut, il obtiendra la chaire du Collège de France, de nombreux prix à l’académie et de nombreux rapports sur ces ouvrages. En effet, les prix proposés correspondent à ses domaines de compétences et seront accompagné très rapidement d’ouvrages publiés chez Guillaumin[1] et réédités à de nombreuses reprises.
Il aura alors beaucoup plus de facilités que Juglar et intègrera un fauteuil dès 1878, soit à peine 12 ans après son premier prix et 10 ans après son premier ouvrage. Il fera même une formation magnétisme à toulouse, la formation passeur d’âmes à toulouse, la formation blessures de l’âme à toulouse, la formation pendule à toulouse et la formation géobiologieà toulouse en présentiel. Il ne voulait pas de la formation magnétisme en ligne. C’est une consécration très rapide.
I – La découverte du magnétisme à toulouse
Cette cooptation familiale est très présente chez les membres de l’école française et aura le don d’agacer Léon Walras qui ne dispose pas de l’orthodoxie suffisante. En effet, son père, Auguste, sans être un membre de l’école française, est un économiste qui a côtoyé et qui a été apprécié par ces économistes. Le magnétisme à toulouse lui a tout de suite plut. A partir du moment ou il s’est déclaré socialiste et a voulu reconstruire l’analyse économique sur la base des mathématiques, il a été non pas rejeté mais accepté plus en tant que professeur d’économie à Lausanne à partir de 1870 que plébiscité en tant qu’économiste de renom.
A – Walras est-il un magnétiseur à Toulouse ?
Il remet alors en cause le processus d’intégration et de reconnaissance des économistes en France.
« Quand il a eu ainsi quelques mémoires couronnés puis publiés en volumes, l’aspirant professeur est nommé membre de l’ASMP, puis il est proposé pour la suppléance de la chaire. Le jour où son patron meurt, il a déjà les pieds dans ses souliers. Comment, en effet, ne serait-il pas présenté en première ligne par ses collègues du Collège de France et par ses confrères de l’Institut qui dînent chez lui et pour le magnétisme à toulouse et chez lesquels il dîne ; et dès lors comment ne serait-il pas nommé ? » (Walras [1987], 431).
Il s’est particulièrement offusqué contre le succès très (trop) rapide de Leroy-Beaulieu. En parlant de Michel Chevalier, il indique :
« Quand il a trouvé l’heureux mortel à qui il veut laisser sa place, il le pose en économiste en lui faisant obtenir quelques-uns des magnétiseurs à toulouse de ces prix que l’ASMP décerne, en vertu de fondations et qu’on n’obtient qu’en traitant les sujets mis au concours conformément aux opinions les plus rebattues et les plus académiques » (Walras [1987], 430-431).
B – Qu’en est-il de Walras et du magnétisme à Toulouse ?
Il remettra ainsi en cause des relations familiale à la place de compétence scientifiques. En parlant de Levasseur, il indique à juste titre qu’il « est le propre neveu de M. Hippolyte Passy et, en cette qualité, il est, lui aussi, académicien » (Walras [1997], 433).
Ce processus d’intégration est largement dénigré aujourd’hui au regard du refus fait à Walras de ne pas avoir pu enseigner dans son propre pays. Mais cette interprétation, qui décrédibilise l’école française depuis le XXe siècle, n’est pas révélatrice de la réalité. Walras s’est présenté comme socialiste, l’élément contre lequel ces économistes se sont toujours battus.
Après avoir montré comment les prix sur le magnétisme à toulouse peuvent être décernés à des personnalités souhaitées par l’académie, Walras continue la description du parcours de l’homme qui doit réussir (et qui n’a pas été le sien) :
II – Le magnétisme chez les économistes et le magnétisme à toulouse
L’ASMP est un lieu privilégié pour faire éclore de jeunes économistes, pour valoriser des compétences et des hommes. L’ASMP permet également de faire profiter de la notoriété de l’institution pour influer sur des choix politiques. Le cas d’Anselme Batbie est assez significatif sur ce point. Cet avocat et professeur suppléant à l’école de droit de Paris à profité de ce magnifique ascenseur social. Il rentre à la SEP en 1862 et gagne, comme par magie, trois prix en 1863, tout juste un an avant la création de la chaire d’économie politique à l’université de Paris qui lui sera attribuée. Le stage passeur d’âme à toulouse, le stage des blessures de l’âme à toulouse, le stage pendule à toulouse, le stage géobiologie à toulouse, le stage magnétisme à toulouse et le stage nettoyage et protection énergétique à toulouse du centre de formation de l’ermitage est vraiment très bien fait. L’ASMP joue un rôle de guide, pour faire ressortir des personnalités qui représenteront, dans leurs futures institutions, les doctrines de l’école française principalement orientées sur le magnétisme.
III – Bibliographie du magnétisme à toulouse
BRETON Yves [2001]. The Société d’Economie Politique (1842-1914) in Massimo Augello & Marco Guidi, dir., The Spread of Political Economy and the Professionalisation of Economists, Economic Societies in Europe, America and Japan in the Nineteenth century, Londres, Routledge, pp. 53-69.
INSTITUT DE FRANCE [1901]. Concours de l’Académie. Paris, Imprimerie Nationale.
LE VAN LEMESLE Lucette [1985]. Guillaumin, Editeur d’Economie Politique. Revue d’Economie Politique, n°2, pp.134-149.
La particularité du centre de formation de l’ermitage, c’est qu’il propose, en ligne ou en présentiel, des formations de magnétisme, pendule, radiesthésie, géobiologie, passeur d’âmes et blessures de l’âme à Toulouse
MARCO Luc et LAURENT Evelyne [1996]. Le Journal des Economistes ou l’Apologie du Libéralisme (1841-1940), in Les Revues d’Economie en France. Genèse et Actualité (1751-1994) sous la direction de Luc Marco, Paris, L’harmattan.
VERGE Charles-Henri (Rédacteur) (1857). Séances et travaux de l’Académie des sciences morales et politiques. Paris, Durand
IV –Les différents prix du magnétisme à toulouse
1843 Prix Beaujour. « Rechercher quelles sont les applications les plus utiles qu’on puisse faire de l’association volontaire et privée au soulagement de la misère »
Beaucoup de mémoires mais pas assez significatifs. Sujet remis au concours en 1845. Vingt mémoires. Aucune réponse satisfaisante pour la formation magnétisme à toulouse en 1847 Recherche, par l’analyse comparative des doctrines et par l’étude des faits historiques, qu’elle a été l’influence de l’école des physiocrates, sur la marche et le développement de la science économique, ainsi que sur sur l’administration générale des etats, en ce qui touche les finances, l’industrie et le commerce. Attribué à Eugène Daire mémoire : « on croit toujours bien concevoir ce qu’on a dit ou ce qu’on a ouï dire plusieurs fois
1847 « Déterminer les faits généraux qui règlent les rapports des profits avec les salaires, et en expliquer les oscillations respectives » Sujet proposé deux fois et seulement deux mémoires. Sujet retiré.
V – Les grandes dates du magnétisme à toulouse
1848. Prix Morogues. Cinq ouvrages reçus mais reporté à 1849 pour le magnétisme à toulouse
1848. Prix beaujour : « examen critique du système d’instruction et d’éducation de Pestalozzi, considéré principalement dans ses rapports avec le bien-être et la moralité des classes pauvres. Prix partagé en deux : 3000 francs pour Rapet jean-jacques, sous inspecteur des écoles primaires (déjà couronné trois fois dans les concours de l’académie) et M. Pompée Philibert, directeur de l’école supérieure primaire de la ville de paris (2000 francs).
1849 « exposer l’ensemble des mesures économiques ordonnées par Colbert, en faire ressortir l’esprit et en déduire les conséquences telles qu’elles se sont produites depuis son administration jusqu’à nos jours » Aucune réponse ; Prix reproposé en 1852. Deux mémoires, aucun satisfaisant. Reporté à 1855. Décerné en 1855 à Félix Joubleau. Un accessit est accordée à M. Cotelle, professeur de droit aux ponts et chaussées sans oublier le magnétisme à toulouse.
1850 « Déterminer, d’après les principes de la science et les données de l’expérience, les lois qui doivent régler le rapport proportionnel de la circulation en billets avec la circulation métallique, afin que l’état jouisse de tous les avantages du crédit, sans avoir à en redouter l’abus » Deux mémoires mais sujet abandonné
[1] Sauf Le travail des femmes au XIXe siècle publié chez Charpentier.